La notion de RSE doit dépasser le simple cadre de la conformité et ne plus se limiter à n’être qu’un outil de communication. Je fais partie de ceux qui voient dans le modèle économique durable un véritable levier de différenciation, de transformation et de performance.
L’accélération des transitions (technologiques, numériques, écologiques, énergétiques), la montée des tensions sociales, l’urgence climatique imposent aux dirigeants d’intégrer le développement durable et les notions d’impacts au cœur de leur gouvernance et de leur stratégie.
Les grandes entreprises ont déjà montré le chemin, en se servant de la RSE comme levier de croissance et de performance.
L’entrée en application en janvier 2024 de la CSRD et de son obligation de reporting extra financier pour les grandes entreprises, la taxonomie, vont entraîner par effet de ricochet de nouvelles exigences pour les clients PME et ETI, qui devront se préparer rapidement à la durabilité.